Quand la collaboration revient à l’ordre du jour :

Les 15 – 20 ans affichent une forte défiance envers le monde de l’entreprise. L’entreprise a perdu son caractère protecteur et leur semble difficile d’accès. A l’heure où les grands groupes expérimentent tant bien que mal le management collaboratif, visant à donner plus d’autonomie aux salariés, les « Z » ne se voient pas comme de simples exécutants. Ils sont hyperconnectés et ont développé une culture du réseau. Ils sont dans la collaboration. Près de la moitié des jeunes misent sur l’entrepreneuriat pour réussir et s’épanouir et rêvent de créer leur propre entreprise.
Source : LA TRIBUNE, 23/01/2015

Beaucoup de RH et de managers s’interrogent sur cette génération « mystérieuse » qu’ils ne comprennent pas bien. Et si cette génération n’était tout simplement que « comme tout le monde », la soumission en moins ?

Je ne prétends pas connaître ni comprendre la génération Z, pas plus que les autres, d’ailleurs. En revanche, je constate qu’elle s’épanouit dans la collaboration, ce qui n’est pas si nouveau dans l’histoire de l’humanité.

Le dictionnaire ATILF donne de la collaboration la définition suivante : « Participation à l’élaboration d’une œuvre commune ».

C’est bien une des clés de la motivation : se sentir partie prenante d’un groupe qui nous dépasse, y apporter sa pierre, avoir le sentiment de participer à sa réussite. Dans l’échelle des niveaux logiques de la PNL, c’est le niveau le plus élevé, celui qui nous entraîne encore plus que les autres.

Collaboration

Entre accorder de l’importance au travail bien fait, en soi, parce que c’est une valeur, et travailler bien parce que les autres comptent sur moi et que je compte pour eux, il y a une différence énorme. Je ne crois pas que ce soit spécifique à la génération Z, je crois que c’est spécifique à la plupart d’entre nous. Et que notre réussite passe par la collaboration.

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